Réalisé par l'agence OhMyWeb: http://www.ohmyweb.fr/ dans le cadre d'une intervention au sein de l'Ecole Supérieure de Commerce de Pau.
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Au sommaire de la présentation:
Introduction e-marketing
Le web-marketing et ses nouveaux métiers
Sources de trafic
Mesure d’audience
Acquisition Digitale : du Smart Data au Growth Hacking
Sources de trafic site internet
1.
2. Intervention sur 3 jours
=> Web-Marketing
• Introduction e-marketing
• Le web-marketing et ses nouveaux métiers
• Sources de trafic
• Mesure d’audience
BACKGROUND
3. Nous sommes très en retard en France dans l’éducation
des nouvelles technologies aux jeunes / étudiants.
Les écoles se mettent « TOUT JUSTE » à intégrer le
web dans leurs cycles pédagogiques :
Vous avez de la chance !
BACKGROUND
4. Pourquoi ?
Les usages sont en train d’évoluer… Internet est
devenu incontournable
Ces évolutions ont une implication extrêmement forte
en terme de communication et marketing
Il semble indispensable pour une entreprise de prendre
conscience de cette convergence des médias.
BACKGROUND
5. Ma mission : vous initiez à la visibilité en
ligne…
⇒ Question fondamentale : comment ?
On ne peut pas apprendre à conduire une voiture simplement en lisant
le code !
Il faut mettre les mains dans le cambouis
Nos interventions ne suffisent pas !
BACKGROUND
6. Comment vous initier ? Au programme :
• (Un peu) de théorie (boring ;-)
• De la pratique: « battles », examens
intermédiaires
• Des échanges !!
BACKGROUND
7. • 10 ans d’expérience Web-Marketing
• 1999-2001 : IUT Tech de Co Angoulême (1 an
Erasmus => 1er projet tutoré Web)
• 2001-2003 : ISEG Bordeaux (stage de 2ème année au
sein de wineandco => missions e-marketing)
• 2003-2004 : Responsable e-Marketing Wineandco
• 2004-2007 : Directeur e-Marketing Wineandco
• 2007-2009 : Business Developper Vivastreet
• 2009 – 2xxx : OhMyWeb ;-)
BACKGROUND
8.
9. C’EST NOUS ;-)
Agence fondée en 2010
+ de 50 clients
4 associés
BAYONNE
Résidence Adour
Place des basques
BORDEAUX
Avenue Paul Bert
33 400 Talence
12. 100% CRÉA
Le fond bien sûr… Mais
jamais sans la forme !‘‘
Identité
Ergonomie
Accessibilité
CONVERSION
13. 100% DÉVELOPPEMENT
Un bug ? Heu… non, jamais entendu parler !
Des développements et outils fiables, robustes et évolutifs
‘‘
14. 100% MOBILITÉ
✔ Sites mobiles
✔ Responsive Web Design J’Iphone, tu Samsung, il
Nokia, nous Motorolons…
19 M* de détenteurs de Smartphones
4,3M* d’€ de transactions
Constat : 15 à 20 % du trafic
*en France en 2012
‘‘
15. 100% TRAFIC
✔ SEO
✔ SEM
✔ Affiliation
✔ E-publicité
✔ Réseaux sociaux
Rien ne sert d’exister sans visibilité !
« Mon
site est
LA ! »
‘‘
16. BREF… 100% WEB !
Nous accompagnons nos clients dans toutes les
phases d’un projet web, de la conception au
suivi post livraison, en passant par la création
et les actions de génération de trafic.
‘‘
20. PREAMBULE : LE WEBMARKETING ?
DE NOUVEAUX OUTILS …
Le numérique, le web … ce ne sont que
des outils, des leviers au service d’une
stratégie marketing plus globale … et
pas une finalité !
‘‘
23. LE WEB-MARKETING… POURQUOI ?
Le site web : une machine à presser Le site web n’est pas une bouteille qu’on jette à la mer
24. PRÉSENCE WEB ET ACTIONS
WEBMARKETING : QUELS OBJECTIFS ?
On ne fait pas un site pour
faire un site, mais pour :
vendre, établir un
premier contact, faire
murir les prospects,
proposer une meilleure
expérience d’achat ou
de découverte de la
marque, pour recueillir
des « Like » ou des fans,
ou des inscriptions
Newsletter, des
réservations, une
meilleure image de
marque … bref avec des
objectifs biens clairs et
quantifiés !
ObjectifsImage de
marque,
Différenciation
concurrence
Conquête
client
Vente
Fidélisation
client
Amélioration
relation client
25. VOTRE ENERGIE DOIT ÊTRE DISPENSÉE DE FAÇON
COHÉRENTE SELON 4 AXES
Création de
trafic
Optimisation
de la
conversion
(site,
newsletter,
FaceBook …)
Suivi
analytique
audience et
performance,
pilotage
Animation,
Community
Management
et relation
client
26.
27. Les outils à disposition des marketeurs ont bien changé …
même si les anciennes recettes fonctionnent encore
peuvent encore fonctionner, ;-), le web a
profondément bouleversé les rouages du business, en
BtoB comme en BtoC.
Les leviers marketing se sont diversifiés de façon
exponentielle . L’intégration de ces nouveaux outils du
marketing et de la relation-client dans les entreprises
rencontre clairement un problème de compétences
non adaptées.
L’innovation dans les méthodes marketing induites par le
web a été plus vite que sa diffusion dans les cursus
d’enseignement. Mais les entreprises n’ont pas le temps
d’attendre. Dans tous les métiers, les compétences
Webmarketing, encore rare sont très recherchées et
donc différenciantes.
LE MARKETING A BIEN CHANGÉ … MAIS LES
COMPÉTENCES PAS ASSEZ VITE
28. LES ENTREPRISES COMMENCENT A REALISER
QU’UN SITE SEUL, CA NE FONCTIONNE PAS :
IL FAUT S’EN OCCUPER !
Pour une entreprise :
présence web
obligatoire !
Création du site :
sous-traitée à une
agence web …
globalement « ça le
fait »
Mais un site pour
donner sa pleine
efficacité doit être
managé …
Niveau
management du site
… les plus lucides
l’ont compris … il
faut quelqu’un …
Donc on sous-traite
(à son agence web,
son référenceur) …
Ou on embauche
un manager de site
…
29. LES MÉTIERS DU WEB
Nouveaux
métiers
du web
Métiers de la
création de
trafic
Métiers « du
contenu »
Métiers de la
relation-client
« à la sauce
réseaux
sociaux »
Métiers de
l’animation de
site web
30. LES MÉTIERS DE LA CRÉATION DE TRAFIC :
PROFILS TRÈS RECHERCHÉS,
Métiers
de la
création
de trafic
Le généraliste :
le « trafic
manager » ou
webmarketeur
Le spécialiste
Google : le
« référenceur »
Le responsable
commercial du
web :
l’ « affiliate
manager »
Profil
Plutôt marketing, commerce
Plus qu’informatique
Mais double compétence recherchée
Qualités requises
Curieux
Organisé
Passionné
Capacité à s’autoformer en continu
31. NOUVEAUX USAGES LIÉS AU WEB NOUVELLES
COMPÉTENCES NOUVEAUX MÉTIERS
Nouveaux
métiers
liés au
web
Métiers de la
création de
trafic
Métiers du
contenu
Métiers de la
relation-client
« à la sauce
réseaux
sociaux »
Métiers de
l’animation de
site web
32. LES MÉTIERS LIES AU CONTENU WEB
ESSENTIELLEMENT LE RÉDACTEUR WEB
Profil
littéraire
communication
Qualités requises
=qualité type journalistique
Esprit de synthèse
« Bonne plume »
Capacité à reformuler
Culture générale
Le
rédacteur
web
Rédige les
contenus
éditoriaux d’un
site web, d’un
blog
Dans les
grandes
entreprises ou
structures
publiques …
Ou en tant
que travailleur
indépendant
33. NOUVEAUX USAGES LIÉS AU WEB NOUVELLES
COMPÉTENCES NOUVEAUX MÉTIERS
Nouveaux
métiers
liés au
web
Métiers de la
création de
trafic
Métiers du
contenu
Métiers de la
relation-client
« à la sauce
réseaux
sociaux »
Métiers de
l’animation de
site web
34. UNE SORTE DE CHARGÉ DE RELATION-CLIENT…
… MAIS UN PEU PLUS QUE ÇA :
LE COMMUNITY MANAGER
Profil
Marketing, relation-client
Connaisseur de la communauté
Qualités requises
Rédaction
Humour
Compréhension du « business »
Passion pour le web
À l’aise sur les medias sociaux
(FaceBook)
Le
community
manager
Entretient une
relation pérenne
avec une
communauté de
clients
Cadre, oriente,
rectifie la
réputation de
l’entreprise sur le
web et les réseaux
sociaux
Dynamise les
échanges au sein
de la
communauté
N’oublie pas de
participer à ce
que les « fans »
deviennent … des
clients
35. NOUVEAUX USAGES LIÉS AU WEB NOUVELLES
COMPÉTENCES NOUVEAUX MÉTIERS
Nouveaux
métiers
liés au
web
Métiers de la
création de
trafic
Métiers du
contenu
Métiers de la
relation-client
« à la sauce
réseaux
sociaux »
Métiers de
l’animation de
site web
36. UNE SORTE DE CHARGÉ DE RELATION-CLIENT…
… MAIS UN PEU PLUS QUE ÇA :
LE COMMUNITY MANAGER
Profil
Mixte : marketing + un peu
d’informatique + un peu de littéraire
« Connaissance métier » : Tourisme,
commerce
Qualités requises
généraliste
Polyvalent
organisé
Type entreprises
Office du Tourisme
eCommerçants
Institutions publiques
Le
manager
de site
Le manager
eCommerce
Le manager
eTourisme
Portails,
Blogs, etc…
37. MORALITE(S) …
LE WEB, CE SONT DES OPPORTUNITÉS
Moralité(s)
Toutes les
structures ont
besoin de ces
nouvelles
compétences
Opportunités
pour les jeunes,
plus
« numériques »
que les anciens
Tous les profils
peuvent tirer
leur épingle du
jeu
38.
39.
40. SELON VOUS, QUELLES SONT LES SOURCES DE
TRAFIC POTENTIELLES POUR UN SITE WEB ?
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
41. EN 2012, LES INVESTISSEMENTS PUBLICITAIRES
VONT AUGMENTER 12,8%
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Cette forte croissance est toutefois
alimentée de manière
différente selon les medias. Si le
marché publicitaire télévisuel
mondial reste de loin le numéro 1
avec une croissance de 5% qui lui
permet de représenter 40% des
dépenses totales, on note la percée
de la publicité en ligne. Porté par
une croissance de 12,8% des
investissements, ce secteur
représente 18% des dépenses
publicitaires mondiales en 2012
42. liens
spontanés
Affiliés gérés
en direct
Echange de
liens avec
partenaires
Affiliés
gérés par
plateforme
Votre Blog
annuaires, guides et
comparateurs d’achat,
centrales de resas …
Réseaux sociaux
Jeux-concours
Plateforme
d’affiliation
Mobile et street marketing
eMailing « durable »
GOOGLE !
classements naturels,
liens commerciaux,
Google SHOPPNG,
maps, image, videos
Visibilité
« monde
physique »
43.
44. Visible sur tout support imaginable : vitrine,
flyers, cartes visites, emballages, étiquettes,
4X3, véhicules pro, pub ½ temps match
télévisé …
LE MONDE PHYSIQUE POUR PROMOUVOIR
VOTRE SITE WEB
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
45. Exemple d’un flyer distribué dans la boutique
Arosteguy à Biarritz
LE MONDE PHYSIQUE POUR PROMOUVOIR
VOTRE SITE WEB
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
46. Le code QR (Quick Response) est un code-barre constitué de modules noirs
disposés dans un carré à fond blanc. Destiné à être lu par un lecteur de code-
barres QR, un téléphone mobile, ou un smartphone, il permet de déclencher
facilement des actions comme naviguer vers un site internet, ajouter une carte
de visite virtuelle (vCard) dans les contacts ou même déclencher un appel
vers un n° de téléphone ou envoyer un SMS.
Le concept : un chainon entre le monde réel en situation de mobilité, et vos outils
sur le web
LE MONDE PHYSIQUE POUR PROMOUVOIR
VOTRE SITE WEB
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
47. QUELLES SONT LES CONDITIONS POUR QU’UN
QR CODE SOIT EFFICACE ?
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
48. IL FAUT GÉNÉRER UN QR CODE
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
49. IL FAUT AVOIR UN LECTEUR DE QR CODE
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
50. IL FAUT (GÉNÉRALEMENT) AVOIR UN SUPPORT
EN BOUT DE LIGNE ADAPTÉ AUX MOBILES
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
51.
52. L’e-mail marketing, également appelé e-mailing, permet d’envoyer un ou plusieurs
e-mails personnalisés à un ou plusieurs destinataires ciblés.
L’e-mail marketing est ainsi un excellent créateur de lien : entrer en contact avec
ses prospects et clients, mieux les connaître, anticiper leurs attentes et répondre à
leurs besoins
Une campagne e-mailing n’est réussie que si l’annonceur s’est fixé des objectifs
quantitatifs et qualitatifs clairs en amont en s’efforçant toujours de les atteindre ou
de s’en approcher au maximum.
INTRODUCTION À L’EMAIL MARKETING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Une économie immédiate : comparé aux autres outils de marketing direct, il permet de réaliser des
économies sur les frais de composition, d’impression ou d’affranchissement...
Rapide et interactif : rapide à mettre en œuvre et à déployer efficace : l’e-mailing séduit tous les internautes
par la relation personnalisée qu’il permet d’instaurer des résultats quantifiables : seul outil capable de
mettre à disposition des statistiques très précises sur la performance et l’impact d’un message
Une optimisation accrue : l’emailing permet de tester, sur un échantillon aléatoire déterminé, différentes
versions d’un même message
Source : Cabestan
53. Type de campagne : newsletter
Définition : campagne dont le contenu est
principalement rédactionnel (lettre d’information,
campagne de notoriété...).
Objectifs :
• maintenir une relation avec vos contacts en les
tenant régulièrement informés de l’actualité et de la
vie de l’entreprise
• apporter une valeur ajoutée aux destinataires du
message
L’E-MAIL COMME OUTIL D’INFORMATION
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Source : Cabestan
54. Typologie de campagne : Prospection
Définition : campagne à objectif commercial visant
exclusivement des prospects.
Objectifs :
• générer un premier achat
• élargir votre base de contacts
• qualifier vos prospects en identifiant leurs besoins
et centres d’intérêt
• faire connaître votre produit ou service
• générer des leads en qualifiant les centres
d’intérêts et les besoins des prospects
L’E-MAIL COMME OUTIL D’ACQUISITION DE NOUVEAUX CLIENTS
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Source : Cabestan
55. Typologie de campagne : Fidélisation
Définition : campagne à objectif commercial,
personnalisée et adaptée à chaque contact.
Objectifs :
• générer des achats en ligne ou en magasin
• mettre en place des actions de cross selling et d’up
selling
• animer un programme de fi délité
• communiquer avec vos clients en fonction du cycle
de vie de vos produits ou services
L’E-MAIL COMME OUTIL DE FIDÉLISATION
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Source : Cabestan
56. Typologie de campagne : Évènementiel
Définition : campagne assurant la promotion d’un
salon, séminaire, petit-déjeuner, lancement d’un
nouveau produit ou service...
Objectifs :
• faire connaître et informer de l’organisation d’un
évènement
• animer un évènement au travers de plusieurs
vagues de communication
L’E-MAIL COMME OUTIL DE PROMOTION OU D’INVITATION
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Source : Cabestan
57. Typologie de campagne : Évènementiel
Définition : campagne assurant la promotion d’un
salon, séminaire, petit-déjeuner, lancement d’un
nouveau produit ou service...
Objectifs :
• faire connaître et informer de l’organisation d’un
évènement
• animer un évènement au travers de plusieurs
vagues de communication
L’E-MAIL COMME OUTIL DE PROMOTION OU D’INVITATION
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Source : Cabestan
59. LA SEGMENTATION
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
• L’e-mailing est l’outil qui permet de développer des
campagnes e-mailing ciblées. Pour cela, vous devez
identifier et toucher les personnes les plus enclines à
répondre à vos messages. Il vous faut déterminer la
liste des destinataires susceptibles d’être intéressés
par votre message.
• Un segment est un ensemble de contacts défini à
partir d’un ou plusieurs critères.
• La segmentation peut se faire sur les critères de la
base de données et / ou sur le comportement des
internautes
Segmentations possibles
> données déclaratives : civilité, type
d’emploi, tranche d’âge, fonction, sexe...
> données comportementales : prospect ou
client, réactif ou non aux messages,
acheteur ou non, ...
> données agrégées ou scorées : récence
d’achat, récence de réaction...
Source : Cabestan
60. BIEN PARAMÉTRER SA CAMPAGNE D’EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
L’objet : mettez en valeur l’intérêt du message.
Vous pouvez personnaliser l’objet en y intégrant
le prénom et / ou le nom du destinataire. L’objet
doit être court pour être visible en un seul coup
d’oeil par le plus grand nombre de systèmes de
messageries possible.
Le libellé de l’expéditeur doit avoir un intitulé
clair et personnalisé pour une bonne
reconnaissance de l’émetteur. L’objet et le libellé
de l’expéditeur sont les deux éléments qui
conditionnent l’ouverture du message.
L’adresse e-mail de l’expéditeur doit refléter
votre nom car certaines messageries l‘affichent à
la place du libellé. L’adresse de réponse doit être
bien valide afin de recevoir les remarques des
internautes qui souhaiteraient vous répondre.
Le lien de désabonnement est obligatoire au
sein d’un e-mail. Ce lien redirige vers le
formulaire de désabonnement puis la
confirmation du désabonnement. Vous respectez
ainsi la volonté de vos abonnés de ne plus
recevoir vos communications.
Source : Cabestan
61. BIEN PARAMÉTRER SA CAMPAGNE D’EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Le contenu du message :
Il est primordial d’apporter un soin particulier à la rédaction du message.
• Être clair, concis et aéré pour une lecture rapide : utiliser si
possible le format flyer pour que la totalité du message soit lue
après ouverture sans navigation verticale.
• Privilégier la partie supérieure : il est important d’afficher les
bénéfices de votre offre ou le contenu représentant le plus de
valeur ajoutée dès le début du message pour deux raisons :
1. Elle apparaît dans les fenêtres de prévisualisation des boîtes de
réception du type Outlook
2. Elle est visible sans navigation verticale
• Dans le cadre de campagnes de prospection, préciser en
introduction la source de collecte qui permet à l’internaute
d’identifier la raison pour laquelle il reçoit cette campagne ; cela
garantit ainsi une relation de confiance et une totale transparence.
• Utiliser des visuels afin d’attirer l’attention de l’internaute. Toute
photo doit être cliquable et renvoie systématiquement vers des
articles ou des produits qu’elle illustre.
• Intégrer des liens : l’e-mail est reconnu pour être interactif, il ne
faut pas hésiter à mettre des liens hypertextes pour orienter le
destinataire vers des pages de votre site web.
Pensez à :
Personnalisez votre message
Segmenter la base de données
Source : Cabestan
62. BIEN PARAMÉTRER SA CAMPAGNE D’EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Contraintes techniques :
• La taille du message est limitée à 80ko pour une
optimisation de l’affichage, notamment pour les
utilisateurs ayant une connexion bas débit
• En largeur, la taille du message ne doit pas excéder 600
pixels : cela permet d’autoriser la consultation du
message dans la fenêtre de prévisualisation des
messageries de type Outlook sans avoir à utiliser la barre
de navigation horizontale
• Centrez votre message pour une meilleure visibilité
• Utilisez un mix de textes et d’images
Attention à :
Une utilisation abusive des majuscules
et des caractères spéciaux (€, !!!,
...)
L’utilisation excessive d’images
L’utilisation du flash et de la vidéo dans
l’e-mail : la plupart des
messageries n’ont pas l’outil
adéquat nécessaire à la lecture de
l’animation.
Source : Cabestan
63. MESURE DE LA PERFORMANCE EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Que doit-on mesurer ?
64. MESURER L’EFFICACITÉ D’UNE CAMPAGNE EMAILING
Le taux d’ouverture :
• Il s’agit du rapport entre le nombre d’internautes ayant ouvert le message reçu et le
nombre d’e-mails reçus (envoyés).
Le taux de clic :
• Il s’agit du rapport entre le nombre d’internautes ayant cliqué sur au moins un des liens
trackés présents dans le message et le nombre d’e-mails envoyés
Le taux de réactivité :
• C’est le rapport entre le nombre de clics et le nombre d’ouvertures
Le taux de désabonnement :
• Il s’agit du rapport entre le nombre de désabonnements et le nombre d’e-mails reçus.
Le taux de plainte :
• Il s’agit du nombre de personnes qui ont cliqué sur le bouton « ceci est un spam »
considérant le message reçu comme étant illégitime
Le ROI !!!!!!!!!!!!!!!
• Combien de contacts ? De ventes ? De Leads ?
Pertinence du nom de l’expéditeur, de l’objet du
message, personnalisation dans l’objet du
message, date et heure d’envoi
Segmenter sa base et mieux cibler le message
Personnalisation du message et création graphique en
HTML
Adapter le contenu de vos campagnes en fonction du
profil et des centres d’intérêts de vos contacts
Mener une enquête pour que vos contacts puissent
donner leur avis sur vos campagnes (fréquence,
contenu)
Proposer plusieurs types d’abonnement
+
+
Méthode de collecte saine et transparente
Actualiser régulièrement sa base de contacts
Segmenter sa base pour ne pas sur solliciter
+
65. MESURER L’EFFICACITÉ D’UNE CAMPAGNE EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Exemple de rapports statistiques d’une campagne d’email
66. COMMENT ENVOYER UN EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
Solution internalisée « Hand Made »
Solution externalisée (+++)
67. Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
QUELQUES SOLUTIONS
70. • Contexte : à l’occasion du lancement de la
nouvelle version du site RDSO, vous avez en
charge de créer un emailing
• Objectif : Trafic + si affinité
• Outil utilisé : mailchimp (www.mailchimp.com)
• Login : marketing_ohmyweb
• Pass : marketingohmyweb64000
CRÉER VOTRE CAMPAGNE EMAILING
Chapitre 1 : Introduction à la Web analytique
71.
72. LE SEM
• Le SEM est une activité qui vise à optimiser la présence d’un site sur les
moteurs de recherche par les liens sponsorisés ou le référencement naturel.
• L’objectif final est de placer le site Internet dans les premiers résultats des
moteurs de recherche, et dans une moindre mesure à développer la notoriété
d’une marque.
74. LE SEO
Le SEO (Search Engine Optimization) représente le
référencement naturel sur les moteurs de recherche.
Cela consiste à optimiser techniquement son site pour
être bien lu par les moteurs de recherche. Pour cela,
il faut recourir à toute une série de techniques
informatiques ou éditoriales (méta-données, balises,
contenu éditorial spécifique).
75. LE SEA
Le SEA (Search Engine Advertising) désigne le marché
des liens sponsorisés commercialisés par les
moteurs de recherche. C’est l’annonceur, aidé ou
pas par une agence, qui choisit en amont les mots-
clés les plus pertinents et les insère dans des mini-
textes publicitaires correspondant aux mots
recherchés par les internautes.
Les liens sponsorisés s’affichent alors en
contextualisation des mots-clés recherchés dans les
moteurs par un système d’enchère et de popularité
(les plus cliqués vont être favorisés).
76.
77. COMME TOUT VECTEUR DE
CRÉATION DE TRAFIC, UNE
PRÉSENCE DANS LES MEDIAS
SOCIAUX …
… SE DOIT D’ÊTRE RENTABLE
78. UNE PRÉSENCE FACEBOOK, OUTIL MAJEUR D’UNE STRATÉGIE
MARKETING ORIENTÉE « SOCIAL »
Objectifs:
• drainer du trafic vers le site,
• participer à la notoriété
• Générer de la viralité
• contribuer faire murir le
prospect,
• garder un client dans son giron
79. PERMISSION MARKETING : LA CLÉ ? GÉNÉRER
DE L’ENGAGEMENT DES MEMBRES DE SA/SES
COMMUNAUTÉ(S) DE PROSPECT /CLIENT
On ne drague plus le prospect
ostensiblement, on l’attire
dans l’ecosysteme on/off line
de la marque pour le faire
murir et passer de prospect a
client effectif.
On ne fait pas un pas vers lui -ou
alors un petit-, mais au
contraire on essaye de lui
faire faire suffisamment de
pas vers la marque pour qu’il
finisse par la consommer,
qu’il en devienne un
prescripteur … ou les deux.
80. DE MULTIPLES RÉSEAUX SOCIAUX …
VOS CLIENTS FRÉQUENTENT LEQUEL ?
Être capable de durer
Tendre du monologue vers le dialogue
Créer et amplifier sa communauté
Choisir le bon réseau social (FaceBook ?)
Se poser la question : un community management
est-il la bonne solution ? (ROI court terme ? …)
Définir ses objectifs et identifier la cible
81. JOUER LA CARTE DE LA VIRALITÉ : UN ARTICLE MOINS
CHER CONTRE UN PARTAGE FACEBOOK
82.
83. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
Relation contractuelle entre un site marchand (affilieur)
et un réseau de sites partenaires (affiliés)
Relation gagnant-gagnant :
L’affilié fait la promotion du produit ou du service de
l’annonceur.
L’annonceur rémunère l’affilié en fonction du business qu’il
lui apporte.
L’éditeur va donc diffuser auprès de son audience un message publicitaire qui pointe vers le site de l’annonceur. Si un
internaute visite le site de l’éditeur, clique sur le message et réalise une action définie sur le site de l’annonceur (visite, achat,
remplissage de formulaire), alors en contrepartie de cette action l’annonceur rémunère l’éditeur.
Par son système de rémunération basé sur la performance, l’affiliation diffère de la publicité classique puisqu’elle devient
payante uniquement quand elle rapporte directement des revenus ou des contacts commerciaux à l’annonceur.
84. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
Entre l’annonceur et l’affilié vient se greffer la plateforme d’affiliation :
Affilié
Annonceur
Plateforme
Web
Agency
85. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
L’annonceur :
Il gère un ou plusieurs sites internet :
E-commerce
Institutionnel
Site d’information...
Il propose une offre de produits ou de
services suffisamment attractive pour
que les webmasters de sites diffusent
l'information auprès de leurs publics.
86. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
La plateforme d’affiliation :
Appelée « tiers de confiance », elle fait le lien entre l'annonceur et le
webmaster et s'assure que les données remontées par les deux parties sont
"correctes".
Nombre de clics
Chiffre d’affaires
Nombre de commandes / leads
C'est elle qui apporte la solution technique pour mesurer le trafic, les actions et
les ventes générées par les affiliés.
Elle assure également une gestion centralisée de la facturation et du paiement
de l’annonceur auprès de ses affiliés.
87. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
L’affilié :
C’est le webmaster d'un site internet qui
dispose d'une audience "suffisante" pour se
lancer dans la monétisation de son trafic.
Il peut s’inscrire à plusieurs programmes et
plateformes d’affiliation (thématique similaire
ou en affinité avec celle de son site).
88. L’AFFILIATION C’EST QUOI ?
Concrètement comment ca marche ?
Je réserve /
j’achète / je
m’inscris…
Landing
page (descriptif de
l’offre)
Confirmation
de commande
/ réservation /
inscription…
Enregistre le clic
Plateforme
d’affiliation
(tableaux de bord)
Tag de
conversion (€)
Enregistre la conversion
Cookie
(30 jours en
général)
Site affilié
(clic sur banner / Flux
produit / Lien texte…)
89. LES LEVIERS DE L’AFFILIATION
Leviers
Sites de
contenu
Sites de bons
de réduction et
de cashback
Achat de mots-
clés/SEM/liens
sponsorisés
Comparateurs
de prix
E-mailing
Réseaux
sociaux
Retargeting
90. SITES DE CONTENU
Principe : sites proposant des
contenus permettent aux
annonceurs de toucher une
audience étendue ou très ciblée
Supports : bannières, images,
vidéos, liens texte, intégrations
spécifiques
92. SITES DE BONS DE RÉDUCTION ET DE CASHBACK
Principe : sites proposant aux
internautes des réductions chez les
e-commerçants
Supports : bons de réduction, e-
mailings, bannières, liens texte
93. COMPARATEURS DE PRIX
Principe : sites proposant de
comparer les produits sur plusieurs
critères. Très prisés des sites de e-
commerce (taux de conversion
élevé)
Supports : catalogues produits
94. ACHAT DE MOTS-CLÉS/SEM/LIENS SPONSORISÉS
Principe : les éditeurs achètent
des mots clés payés au clic qui
vont apparaitre dans la zone
« liens sponsorisés » des pages de
résultats des moteurs de recherche
Supports : liens texte
95. E-MAILING
Principe : ces éditeurs gèrent des
bases de données d’adresses e-
mails. Ils s’adressent donc
à leur audience, non via un site
internet, mais via e-mails
Supports : kit e-mailing
96. RETARGETING
Principe : reciblage publicitaire
personnalisé adressé à un
internaute n’ayant par réalisé
d’action d’achat après une visite
sur le site d’un annonceur
Supports : (formats IAB
standards)
97. QUEL MODÈLE ÉCONOMIQUE?
En lançant sa campagne d’affiliation, on s’offre une visibilité online dont les
coûts sont déterminés par une performance / action :
CPA = Coût Par Acquisition
Rémunération au % du CA réalisé
CPL = Coût Par Lead
Rémunération basée sur la collecte de données
CPC = Coût Par Clic
Rémunération au clic (ou double-clic)
CPM = Coût Pour Mille
Rémunération aux 1000 impressions
Performance pure
Visibilité
98. POURQUOI FAIRE DE L’AFFILIATION?
Les avantages de l’affiliation
Rentabilité
• Faible coût d’acquisition
• Rentabilité assurée
• Modèle à la performance / ROI
o Je ne paye qu’à « l’action » (a priori)
99. POURQUOI FAIRE DE L’AFFILIATION?
Les avantages de l’affiliation
Visibilité
• Référencement rapide sur des
centaines (milliers) de sites
• Publicité « gratuite »
o Pas (peu) de frais tant que la campagne
ne génère pas de vente (lead)
100. POURQUOI FAIRE DE L’AFFILIATION?
Les avantages de l’affiliation
Affinité
• Ciblage précis
o Publicité en affinité avec l’audience
• Communication maitrisée
o Vous êtes libre d’accepter au de refuser
certains de vos affiliés
o Vous relayez votre actualité en temps réel
101. POURQUOI FAIRE DE L’AFFILIATION?
Les avantages de l’affiliation
Avantages
Générer
du CA
Générer
du trafic
Rentabilité
Notoriété
102. POURQUOI FAIRE DE L’AFFILIATION?
Les avantages de l’affiliation
• Coût d’acquisition faible
• Rentabilité assurée !
103. CHOISIR SA PLATEFORME D’AFFILIATION
Rappel :
Elle met l’annonceur en contact avec des éditeurs de sites Internet qu’elle a
préalablement sélectionnés, afin d'assurer la promotion du client ou de ses
produits auprès des internautes qui fréquentent les sites des affiliés.
Elle offre à la fois une solution technique et une caution morale à l'échange :
Elle permet de tracer les ventes / leads issus de la campagne
Elle est le garant du paiement des rémunérations des affiliés
104. CHOISIR SA PLATEFORME D’AFFILIATION
Avantages et inconvénients des plateformes
d’affiliation :
• Outils technologique abouti
• Un réseau d’affiliés immédiatement disponibles
• Prise en charge de la dimension administrative
• Prestation de conseils
+
• Le coût financier
• L’absence de relation directe avec le réseau d’affiliés-
105. CHOISIR SA PLATEFORME D’AFFILIATION
3 points-clés à contrôler :
Les objectifs :
Ventes
Trafic
Leads
Campagne à l’internationale…
La concurrence :
Avec quelle(s) plateforme(s) travaillent mes concurrents ?
Quels sont leur niveaux de rémunération ?
Qui sont leurs affiliés ?
Le coût :
Rémunération affilié
Rémunération plateforme
Frais de mise en place
Prix des options (bannières etc.)
Pourquoi ouvrir
une campagne
d’affiliation ?
Combien va me
coûter ma
campagne ?
Suis-je bien
positionné face à
mes concurrents ?
108. Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Quel(s) type(s) d’affilié(s) ?
Comparateurs de prix
Cash-back / Bon de réduction
Sites de contenu / bloger
Emailer
Keyworder
Etc.
La typologie de vos
affiliés doit
correspondre à votre
problématique et à
votre image
109. Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Quelle rémunération ?
CPM
DoubleClic
Clic
Lead
% sur vente
Fixe sur vente
Plus la rémunération
est importante, plus
l’affilié est intéressé !
110. Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Quel matériel de communication ?
Banner
Kit Mail
TextLink
Flux produit
Search Box
Retargeting
L’affilié veut du
matériel de qualité
pour communiquer
sur votre offre !
111. Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Soyez attentifs à vos affiliés !
Communiquez avec eux :
Newsletter
Création d’une page de présentation du programme
Répondez à leurs questions
Choyez-les !
112. Attirer, fidéliser et valoriser les
affiliés
Partagez les informations importantes :
Panier moyen
Taux de transformation
Raison pour laquelle une vente est annulée
Etc.
113. ANIMER SON PROGRAMME D’AFFILIATION
Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Soignez votre site :
Améliorer le taux de conversion
Soignez vos landing pages
Faites des opérations promotionnelles
Affichez-vous comme un site de confiance (CGV, CGU,
contact…)
Vos résultats conditionnent aussi ceux de vos affiliés !
114. ANIMER SON PROGRAMME D’AFFILIATION
Attirer, fidéliser et valoriser les affiliés
Animer votre programme :
Créez des jeux concours inter-affiliés :
Pallier de rémunération
« Incentivez » les meilleurs affiliés
Challenges affiliés
Soyez créatif dans le matériel de communication que vous mettez à leur
disposition :
Bannières / kit mail
Liens textes
Flux produits…
115. ANIMER SON PROGRAMME D’AFFILIATION
Facteurs clés de succès
d’une campagne
d’affiliation
Rémunération affiliés
Matériel promotionnel
Gestion / animation du programme
Qualité de votre site
et de votre offre
116.
117. DÉFINITION
Le display désigne la publicité sur Internet avec achat
d’espace et utilisation d’éléments graphiques ou visuels
(bandeaux, pavés, skyscrapers, etc.).
C’est ce qu’on pourrait appeler "la publicité Internet
traditionnelle ou classique"
118. INTERNET : UNE NOUVELLE DONNE !
Le Net s’est imposé comme un média incontournable pour
toucher des catégories de populations comme les jeunes ou
les CSP +. Sa complémentarité avec les autres vecteurs de
communication agit sur plusieurs plans : notoriété, image de
marque, génération de contacts qualifiés… Si Internet
renforce l'efficacité d'autres médias, il sait aussi être efficace
seul.
121. HISTOIRE DU DISPLAY
1994-1995 : les premières bannières publicitaires
Cette bannière joue sur la génération de
trafic en incitant de manière très explicite
l'internaute à cliquer. "Cette création réalisée en
.gif est la première image statique à être diffusée
sur un site d'information (Hotwired) et carrefour
d'audience important qui propose du clic et un
contenu derrière à l'internaute
Enfin, fait marquant pour 1995, la nouvelle version du portail de Yahoo intègre pour la première fois des
espaces publicitaires.
122. HISTOIRE DU DISPLAY
1996 : la première bannière interactive La première bannière interactive voit le jour
cette année-là. Elle est réalisée pour Hewlett
Packard (voir ci-dessous), mettant en scène le
jeux d'Atari : Pong. "La bannière est très simple
mais le jeu est techniquement jouable, ce qui en
fait toute la valeur, note Charles-Emmanuel
Doxuan. Néanmoins, il faut du son pour apprécier
cette bannière." A l'époque l'internaute passe
beaucoup de temps à jouer sur cette bannière, un
temps qui n'est pas mesuré contrairement aux
pratiques actuelles
L’année 1996 marque le point de départ à
l'essor du Flash dont l'emprise sur la publicité
display s'affirmera ensuite d'année en année
123. HISTOIRE DU DISPLAY
1997 : naissance de l’interstitiel
Ce format occupe l'ensemble de la page web et
recouvre donc entièrement le site sur lequel ce
format est présent. L'interstitiel est une page web
qui se charge avant l'arrivée de la page d'accueil
d'un site ou entre deux pages d'un même site,
pendant la transition.
Fait également marquant de l'année 1997 : la banalisation de la publicité
124. HISTOIRE DU DISPLAY
1999 : les débuts de la vidéo
On observe alors un très fort désir de développer la vidéo, mais
l'hésitation prend le dessus du fait des limites du bas débit.
Typique de cette période-là, la bannière "Punch the monkey" en a inspiré
beaucoup sur le même modèle : un singe avec un élément clignotant
dans la création qui incite l'internaute à cliquer pour cogner l'animal et
gagner 20 dollars. Bref, le jeu pousse au clic alors que ce n'est pas
forcément l'intention de l'internaute de se rendre sur un autre site.
125. HISTOIRE DU DISPLAY
2000 : l’apparition du pavé
Fait majeur en l'an 2000 : le haut débit fait son apparition. Selon
l'Arcep,200 000 abonnements sont souscrits cette année là, contre 5,3
millions en bas débit. Un haut débit qui va favoriser par la suite le
développement de bannières plus complexes, plus lourdes, plus rich
media
2000, c'est aussi l'invention du skyscraper qui sert surtout pour les
expands aujourd'hui. CNet commence à diffuser les premiers rectangles
larges en Flash autrement nommé pavé (300x250 pixels).
Format d'excellence pour les publicitaires, il s'intègre très bien
dans la colonne de droite des sites Web
126. HISTOIRE DU DISPLAY
2001 : l’invasion des pop-ups
Avec l'éclatement de la bulle Internet, le chiffre d'affaires de la
publicité on line chute inévitablement en France comme aux Etats-
Unis. Année difficile donc, qui voit en plus l'invasion des pop-up et
pop-under. Près d'un tiers des sites dans le monde affichaient
des pop-up sur leurs pages.
Le débat sur les publicités peu qualitatives s'ouvre rapidement. Les
annonceurs abusent dans un premier temps des pop-ups, où aucun
soin n'est apporté à la réalisation, le message publicitaire est
purement promotionnel.
Intégration de la première bannière
avec du son
127. HISTOIRE DU DISPLAY
2004 : la reprise du marché publicitaire
• De son côté, le marché de la publicité on line voit s'imposer
des intermédiaires : régies, adservers… alors que les
campagnes étaient auparavant achetées au nombre de jour
d'affichage et pas au volume d'impressions ou de clics
• L’évolution technique d'Internet cette année est très importante :
Windows XP lance son pack de mise à jour SP2 qui bloque les
pop-up par défaut
• De plus le Player 6 de Flash permet de développer les premières
bannières communicantes : à une information ou message
publicitaire peut désormais transiter d'une bannière à l'autre
sur une même page Web
• C'est aussi le début de la vidéo à grande échelle sur Internet.
128. HISTOIRE DU DISPLAY
2005 : l’explosion du Rich Media
• En 2005, c'est l'explosion du rich média, de la créativité et des formats. (Dès lors que la publicité en ligne
incorpore une logique d'animation visuelle ou sonore, on parle de formats "Rich Media" (ou média enrichi). Avec
le Rich Media, la publicité en ligne devient multimédia et interactive)
• Les nouveaux investissements dans l'e-publicité doivent être à la hauteur de l'image de marque. D'autant plus
que l'essor des liens commerciaux sur le Web renforce l'aspect branding des bannières publicitaire.
• 2005, c'est aussi la création de YouTube, le début de l'invasion de la vidéo sur Internet et de sa généralisation
dans la publicité en ligne
129. HISTOIRE DU DISPLAY
2006 : place au spectacle
• A partir de 2006, Internet est pour de plus en plus de marchés une étape essentielle dans le processus d'achat
des consommateurs au travers des comparateurs, diverses sources d'informations, ou en tant que canal de
distribution : d'où l'absolue nécessité d'être visible sur Internet.
• En conséquence de quoi les formats sont très variés et la valeur spectacle offert par une marque aux
internautes est de plus en plus importante
• Les campagnes de publicité display ont une double action dorénavant : génération de trafic et branding qui lui-
même crée du trafic via un entonnoir commercial post view, autrement dit générant du clic dans les trois jours
suivants.
130. HISTOIRE DU DISPLAY
2007 : des campagnes hybrides
• Les campagnes de publicité sont de plus en plus hybrides dans le
sens où elles associent bannières, vidéos virales, mini-site
web dédié, le tout de manière très réfléchie et cohérente.
• La vidéo virale intervient le plus souvent en phase de teasing,
anonyme, puis la marque signe son opération de communication à
travers le mini-site dédié et les bannières publicitaires
• => lien Animation Flash
131. HISTOIRE DU DISPLAY
2008 : vidéo, vidéo et encore vidéo
• Les bannières rich média, plus chères, plus riches, plus
interactives, offrent une liberté de création et
comprennent des vidéos qui font jusqu'à deux ou trois
méga octets. "La publicité commence à raconter des
histoires en chapitrant les campagne
• Pour les publicités vidéo, il n'y a plus véritablement de
limites, autorisant les séquences de plus de deux méga
octet, en plein écran dans un expand ou un interstitiel ou
dans un format du type skyscraper
132. HISTOIRE DU DISPLAY
2008 : vidéo, vidéo et encore vidéo
http://www.youtube.com/watch?
feature=player_embedded&v=l
SggaxXUS8k#!
http://www.youtube.com/watch?
feature=player_embedded&v=yI
utgtzwhAc
134. LES FORMATS PUBLICITAIRES
Les formats traditionnels et / ou enrichis (Package universel) /
Le rectangle (300x250 px ou 180x150px)
Le skyscraper (160x600px)
Megabanner (728x90 px)
135. LES FORMATS PUBLICITAIRES
Les formats traditionnels mais moins utilisés
Super Megabanner (970x90 px)
Bouton (120x60px)
137. ACHETER DE L’ESPACE PUBLICITAIRE
Le CPM (coût pour mille) : par défaut, il s’agit sur Internet du coût d’achat de l’espace publicitaire sur un
site, ramené à une base de 1000 pages vues avec publicité (PAP, pages diffusées sur lesquelles
figurent une ou plusieurs annonces publicitaires). En France, le CPM peut varier de quelques euros à
quelques dizaines d’euros.
Exemple :
• Le CPM d’une campagne coûtant 10 000 € pour un million de PAP est de (10 000 / 1000000) x 1000 =
10 €
• à 20 € pour mille bannières affichées, une campagne de 100 000 bannières serait donc facturée 2 000
€.
Le coût au clic (CPC) est un indicateur mettant en relation le coût de l’audience (CMP) avec le degré de
sensibilité de l’audience à l’annonce (taux de clic). Le CPC est essentiellement pratiqué dans le cadre
de campagnes massives et peu ciblées. Il permet de mesurer le coût de recrutement d’un visiteur car
on assimile le plus souvent un clic à une visite, même si la réalité est quelque peu différente (Voir cours
sur la mesure d’audience !!)
138. LES RÉGIES PUBLICITAIRES
Une régie publicitaire est une entreprise mettant en relation des annonceurs
souhaitant diffuser des publicités et des entreprises de média qui souhaitent
mettre à disposition des espaces publicitaires, valorisant ainsi leur audience
En France, les principales régies publicitaires sont Google Adsense, Microsoft
Advertising, 3W Régie, Horyzon Media (Groupe Pages Jaunes),Nice AD, Hi
Media, Pubwebnet.com,Xtra-pub, Boostclic.com, Orange Advertising
Network, Lagardere Publicité, TF1 Publicité, Zefir Web (Le Figaro),
Manchette Publicité (Le Parisien), Adverline, Aufeminin Network, France
Télévisions Publicité, Skyrock, Prisma Presse, Tac-tic media, Allocine
Adnetwork, adFlex (Flex Multimedia Group), Advert Stream (AdsMarketPlace)
139. UN POINT SUR LE CIBLAGE COMPORTEMENTAL
Il permet de prendre en compte le « comportement » de l’internaute pour le toucher :
• N’importe où sur le Net
• En temps réel
• Au moment où il est en recherche active ou proche de l’acte d’achat
Le principe
Il s’agit de comparer l’activité d’un internaute lors de son surf à des profils de surf
recueillis antérieurement, en général grâce à des cookies.
Le type de données que l’on peut utiliser…
• Les pages consultées
• Les transactions effectuées
• Les requêtes dans des moteurs
• Le comportement vis-à-vis des pubs visualisées (clics par catégories
d’annonceurs,…)
• Des données déclaratives recueillies dans des profils, des formulaires…
140. UN POINT SUR LE CIBLAGE COMPORTEMENTAL
Les coookies sont des fichiers « texte » qui, à l’occasion de la visite d’un site, sont placés dans la mémoire du navigateur de
l’internaute par le serveur du site ou un tiers autorisé par le site. Ces fichiers permettent entre autres choses de recueillir
et de stocker des données sur le comportement de navigation, à partir du poste connecté.
Différents cookies pour différents usages
• le cookie de session : il permet le stockage d’informations liées à la session de navigation d’un internaute (paramètres
de connexion à un service, contenu d’un panier d’achat, etc.)
• le cookie de personnalisation : il permet de conserver des informations sur l’utilisateur et de les réutiliser lors de ses
futures visites (préférences d’affichage, information de connexion à un site, etc.)
• le cookie de tracking : il permet de connaître l’historique de navigation d’un utilisateur (liste des pages visitées,
identifiées par leur URL et ordre de visite).
Ces informations sont utilisées pour produire des statistiques d’utilisation des sites comme des paramètres de trafic (nombre
de pages vues par visites, fréquence de retour des visiteurs, etc.) ou pour identifier les centres d’intérêt des utilisateurs, à
partir des thèmes et/ou contenus des sites visités.
141. LE RETARGETING COMPORTEMENTAL
Exemple :
• Étape 1 : un pixel est placé sur la page d’accueil du site de l’annonceur. Tous les visiteurs du site
reçoivent un cookie, qui va les identifier (qu’ils soient amenés par une campagne publicitaire ou
non)
• Étape 2 : une population de prospects est créée. Celle-ci est identifiée par l’adserver de la régie.
• Étape 3 : dès leur passage sur un site du réseau, Havas Media retouche cette audience
intéressée par l’annonceur lors de la campagne publicitaire avec une publicité sur la promotion
de novembre.
⇒ C’est ici qu’intervient le retargeting comportemental
142. LE RETARGETING COMPORTEMENTAL
Objectifs Message adapté Solutions
Lorsqu’un individu a abandonné
un processus d’achat
Le remessagingpanier Reconquête des visiteurs perdus
(bon de réduction, cadeau,
gratuité des frais de port)
Processus de décision non
instantané (où l’achat ne se fait
pas lors de la première visite)
Le remessaging relance On recontacte l’individu dans un
délai correspondant le mieux au
processus d’achat du produit ou
service
Un individu ayant cliqué et pas
transformé
On peut proposer une publicité
qui les incite à revenir sur le site
avec une offre complémentaire
Retenir et optimiser les clients
existants
Le remessaging client Leur proposer des offres
différentes en fonction de ce
qu’ils ont déjà acheté (favoriser
la vente
additionnelle/fidélisation)
Exclure les individus ayant déjà
transformé
Le remessaging couverture
additionnelle
Pour élargir la couverture d’un
plan et toucher de nouveaux
prospects