OBJECTIF DES QUIZZES
Comprendre les mécanismes moléculaires déclenchant les réponses immunes adaptatives dans le but de développer des thérapeutiques immunologiques efficaces en parodontologie et carries dentaires
Lecture 1 Introduction to Dental & Oral Immunology
Lecture 6 Quizzes Cellules Dendritiques & Antigenes en Médecine Dentaire
1. LES CELLULES DENDRITIQUESLES CELLULES DENDRITIQUES
LES ANTIGENESLES ANTIGENES
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Immunology by checking out the questions previewed below.
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LES CELLULES DENDRITIQUESLES CELLULES DENDRITIQUES
LES ANTIGENESLES ANTIGENES
KERBOUA K.
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3. OBJECTIF DES QUIZZES
Comprendre les mécanismes
moléculaires déclenchant les réponses
immunes adaptatives dans le but de développer
des thérapeutiques immunologiques efficaces
en parodontologie et carries dentaires
OBJECTIF DES QUIZZES
Comprendre les mécanismes
moléculaires déclenchant les réponses
immunes adaptatives dans le but de développer
des thérapeutiques immunologiques efficaces
en parodontologie et carries dentaires
4. 1. La cellule dendritique
a. Décode le signal de danger dans l’immunité innée pour le transmettre à l’immunité adaptative
b. Stimule le chef d’orchestre de l’immunité adaptative « le LTCD4+ »
c. Oriente l’immunité adaptative vers TH1, TH2, TH17 ou Treg en fonction du type de
l’inflammation provoquée par les cellules de l’immunité innée
d. N’est pas la seule cellule qui stimule l’immunité adaptative dans les organes lymphoïdes
secondaires
2. La cellule dendritique peut être
a. D’origine myéloïde
b. D’origine lymphoïde
c. Issue du même progéniteur des monocytes
d. Issu d’un progéniteur mixte des polynucléaires et des monocytes-macrophages
e. La cellule la plus productrice de l'IFN de type I dans le contexte d'une infection virale quand
la CD est de type plasmacytoide
f. De type DC 1 quand elle est myéloïde et DC 2 quand elle est lymphoïde
2. La cellule dendritique peut être
a. D’origine myéloïde
b. D’origine lymphoïde
c. Issue du même progéniteur des monocytes
d. Issu d’un progéniteur mixte des polynucléaires et des monocytes-macrophages
e. La cellule la plus productrice de l'IFN de type I dans le contexte d'une infection virale quand
la CD est de type plasmacytoide
f. De type DC 1 quand elle est myéloïde et DC 2 quand elle est lymphoïde
3. La cellule dendritique
a. décrite la première fois par Paul LANGERHANS en 1868 dans l’ÉPIDERME.
b. a pris le terme de cellule DENDRITIQUE un siècle après (1970) par Ralph STEINMAN
c. les travaux scientifiques sur cette cellule ont mérité le Prix Nobel de 2011 qu’on a attribué à
l’épouse de Ralph STEINMAN , décédé 3 jours avant la cérémonie.
d. Son étude a longtemps souffert des difficultés car la proportion e cette cellule est MINIME
du sang et des tissus (<1% de l’ensemble des cellules).
5. 4. Les cellules dendritiques (DC) sont les cellules présentatrices d'antigène (CPA)
"PROFESSIONNELLES",
a. Car Elles sont LES SEULES capables de stimuler un lymphocyte T naïf,
b. car ce sont les seules CPA qui expriment de manière CONSTITUTIVE une forte densité de
molécules de classe II du CMH et de molécules de costimulation.
c. Car elle ne peuvent pas accéder aux organes lymphoïdes secondaires
d. Car elle attirent le LTCD4+ vers le tissus de l’inflammation pour la présentation antigénique
5. Il existe plusieurs SOUS-POPULATIONS de DC (cellules dendritiques),
a. IMMATURES qui capturent l'antigène
b. MATURES qui présentent cet antigène au lymphocyte T.
c. DC myéloïde (TYPE I) appelé DC1. comme les cellules de Langerhans, les DC interstitielles
et les DC dérivée des monocytes
d. De type DC plasmocytoïde ou lymphoïde (TYPE II) appelées DC2.
5. Il existe plusieurs SOUS-POPULATIONS de DC (cellules dendritiques),
a. IMMATURES qui capturent l'antigène
b. MATURES qui présentent cet antigène au lymphocyte T.
c. DC myéloïde (TYPE I) appelé DC1. comme les cellules de Langerhans, les DC interstitielles
et les DC dérivée des monocytes
d. De type DC plasmocytoïde ou lymphoïde (TYPE II) appelées DC2.
6. Les DC exercent aussi un rôle fondamental dans l'établissement de LA TOLÉRANCE T,
a. Qui peut être CENTRALE dans le thymus
b. Qui peut être PÉRIPHÉRIQUE dans les organes lymphoïdes secondaires
c. Qui se fait en déactivant un lymphocyte T ou stimulant un LT Régulateur lors de la tolérance
périphérique
d. Qui se fait en déactivant un lymphocyte T ou stimulant un LT Régulateur lors de la tolérance
Centrale
6. 7. Les CELLULES DENDRITIQUES sont retrouvées dans
a. le sang sous forme de précurseurs, à savoir monocytes et cellules pré-DC1 et pré-DC2.
b. le thymus pour assurer LA SÉLECTION NÉGATIVE au cours de la différenciation T.
c. l’épiderme sous forme de cellules de Langerhans
d. Les différents tissus non lymphoïdes sous forme de cellules interstitielles qui colonisent tous
les conjonctif et lamina propria
e. la lymphe afférente sous forme de cellules voilées
f. les organes lymphoïdes sous forme de cellules inter-digitées
8. les fonctions des cellules dendritiques se résument à:
a. TESTER L'ANTIGÈNE dans les tissus, non lymphoïdes et lymphoïdes et perçevoir des
signaux de danger,
b. Capturer la cible et l’appreter dans le cytoplasme
c. Migrer des tissus agressés vers les organes lymphoïdes secondaires
d. subir une MATURATION qui leur permet d'exercer pleinement leur fonction de CPA
8. les fonctions des cellules dendritiques se résument à:
a. TESTER L'ANTIGÈNE dans les tissus, non lymphoïdes et lymphoïdes et perçevoir des
signaux de danger,
b. Capturer la cible et l’appreter dans le cytoplasme
c. Migrer des tissus agressés vers les organes lymphoïdes secondaires
d. subir une MATURATION qui leur permet d'exercer pleinement leur fonction de CPA
9. Les DC sont caractérisées par la PLASTICITÉ morphologique et fonctionnelle :
a. Qui leur confère la capacité d'ORIENTER la réponse immunitaire en fonction du micro-
environnement inflammatoire
b. Dépond de la nature des cytokines sécrétées par les cellules de l’immunité innée,
c. Dépond du rapport DC/lymphocyte T
d. Dépond de l'état du pathogène et ses différents antigènes qui varient selon le cycle de vie
7. 10. une MÊME population de DC peut ORIENTER LA RÉPONSE T en TH1 ou TH2
a. une réponse TH1 lors que le signal de danger est fort (ex: rapport DC sur lymphocytes T
ÉLEVÉ ou la présence de PAMPs comme le LPS, des motifs CpG non méthylés d'ADN
bactérien, RNA viral double brin, CD40L et l'IFNγ
b. une réponse TH2 lorsque le rapport DC:lymphocytes T BAS ou en présence de l'IL-10, du
TGFβ ou de la prostaglandine PGE2
c. une réponse TH1 lors de la forme levure du CANDIDA ALBICANS
d. une réponse TH2 contre la forme filamenteuse du CANDIDA ALBICANS
11. Les fonctions de CAPTURE antigénique et de PRÉSENTATION antigénique de la
cellule dendritique
a. sont SÉPARÉES dans le temps et dans l’espace (tissus).
b. Les DC IMMATURES dans LES TISSUS NON LYMPHOIDES sont des sentinelles
spécialisées dans la CAPTURE antigénique et l'APPRÊTEMENT
c. les DC MATURES dans les zones T des ORGANES LYMPHOÏDES secondaires sont
spécialisées dans LA PRÉSENTATION de complexes CMH : peptide aux cellules T
11. Les fonctions de CAPTURE antigénique et de PRÉSENTATION antigénique de la
cellule dendritique
a. sont SÉPARÉES dans le temps et dans l’espace (tissus).
b. Les DC IMMATURES dans LES TISSUS NON LYMPHOIDES sont des sentinelles
spécialisées dans la CAPTURE antigénique et l'APPRÊTEMENT
c. les DC MATURES dans les zones T des ORGANES LYMPHOÏDES secondaires sont
spécialisées dans LA PRÉSENTATION de complexes CMH : peptide aux cellules T
12. Dans les organes lymphoïdes secondaires, la CD Transmet au LT naïf
a. L’image de la cible via l’intéraction HLA-peptide-TCR
b. Comment neutraliser la cible via la sécrétion de Cytokines
c. Le site ou il doit exercer sa fonction effectrice via l’induction de Récepteurs de chimiokines
8. 13. La fonction de CAPTURE des cellules dendritiques repose sur différents mécanismes :
a. LA MACROPINOCYTOSE des protéines SOLUBLES.
b. L'ENDOCYTOSE via des récepteurs de type LECTINE
c. LA PHAGOCYTOSE de PARTICULES infectieuses ou non par la liaison à des récepteurs
spécifiques
d. certains VIRUS peuvent INFECTER DIRECTEMENT les DC.
14. Après la CAPTURE
a. les antigènes suivent LA VOIE EXOGÈNE de dégradation et d'APPRÊTEMENT
b. CHARGEMENT peptidique sur les molécules de classe II du CMH pour les présenter aux
LT CD4+.
c. EN L'ABSENCE de signaux d'activation ou de danger, les molécules de classe II ont UNE
DEMI-VIE COURTE.
d. En PRÉSENCE de signaux de Danger: L'ACTIVATION DES DC, qui déclenche leur
MIGRATION et provoque leur MATURATION,
e. Le signal de danger aboutit à une REDISTRIBUTION membranaire des molécules de classe
II CHARGÉES et le rallongement de leur demi-vie allongée (>4 jours)
14. Après la CAPTURE
a. les antigènes suivent LA VOIE EXOGÈNE de dégradation et d'APPRÊTEMENT
b. CHARGEMENT peptidique sur les molécules de classe II du CMH pour les présenter aux
LT CD4+.
c. EN L'ABSENCE de signaux d'activation ou de danger, les molécules de classe II ont UNE
DEMI-VIE COURTE.
d. En PRÉSENCE de signaux de Danger: L'ACTIVATION DES DC, qui déclenche leur
MIGRATION et provoque leur MATURATION,
e. Le signal de danger aboutit à une REDISTRIBUTION membranaire des molécules de classe
II CHARGÉES et le rallongement de leur demi-vie allongée (>4 jours)
15. La maturation et la migration des cellules dendritiques
a. Est induite par Les pathogènes ou les molécules associées aux pathogènes (PAMPs)
b. elle s’accompagne de CHANGEMENTS phénotypiques et fonctionnels majeurs
c. Est définie par la transformation coordonnée et séquentielle d’une cellule capturant’antigène
en une cellule présentant l’antigène.
d. est intimement liée à la migration des DC des tissus vers les organes lymphoïdes
9. 16. Le signal de danger nécéssaire à la maturation des DC peut etre:
a. Des molécules associées aux PATHOGÈNES (PAMP) comme le lipopolysaccharide (LPS)
b. Des CYTOKINES pro-inflammatoires libérées dans le microenvironnement (TNFα, IL1, IL6)
c. La présence de cellules NÉCROTIQUES mais non apoptotiques
d. Certaines molécules de CHOC THERMIQUE ou HSP (Heat shock proteins)
exprimées par des microorganismes ou les cellules du soi lors d’un stress cellulaire
17. Les récepteurs Toll-like (TLR),
a. Sont au nombre de 11 chez l’homme
b. Se lient à des motifs communs chez les agents infectieux appelés PAMPs
c. Se lient à des motifs communs dans les cellules nécrotiques appelés DAMPs
d. permettent aux DC de DÉCODER le micro-environnement inflammatoire,
e. Permettent de donner le signal intracellulaire aux cellules pour RÉAGIR face à un danger.
17. Les récepteurs Toll-like (TLR),
a. Sont au nombre de 11 chez l’homme
b. Se lient à des motifs communs chez les agents infectieux appelés PAMPs
c. Se lient à des motifs communs dans les cellules nécrotiques appelés DAMPs
d. permettent aux DC de DÉCODER le micro-environnement inflammatoire,
e. Permettent de donner le signal intracellulaire aux cellules pour RÉAGIR face à un danger.
18. Les TLRs impliqués dans la reconnaissance des agents infectieux et le déclenchement
des réponses immunes sont
a. TLR 5 contre les Parasites grace à la reconnaissance de la Flagelline
b. TLR 6 contre les mycoplasmes grace à la reconnaissance de lipopeptide
c. TLR 2 et TLR 1 contre les Bacteries G+ grace à la reconnaissance de l’Acide techoique
d. TLR 4 contre les Bacteries G- grace à la reconnaissance de LPS
e. TLR 9 contre les Bacteries Virus a ADN grace à la reconnaissance de ADN à motifs CpG
f. TLR 7 TLR 8 TLR 3 qui sont en intracellulaire contre les Virus à ARN grace à la
reconnaissance de ARN Simple Brin et Double Brin
10. 19. La fonction de présentation antigénique
a. les cellules dendritiques sont les seules CPA capables d'activer les lymphocytes T naïfs in vivo
et in vitro.
b. les cellules dendritiques expriment 10 à 100 fois plus de complexes peptide-HLA que les
autres CPA
c. Nécéssité obligatoirement des molécules de costimulation
d. Nécéssite le maintien d'UN CONTACT SUFFISAMMENT LONG via la SYNAPSE
IMMUNOLOGIQUE
20. Les cellules de Langerhans (LC)
a. résident dans l'épithélium des TROIS tissus la muqueuse buccale, gingivale et sublinguale de
la cavité buccale.
b. Sont plus fréquentes dans l'épithélium BUCCAL que l'épithélium gingival et sublingual
c. Leur rôle dans la muqueuse buccale semble être principalement TOLÉROGÉNIQUE.
20. Les cellules de Langerhans (LC)
a. résident dans l'épithélium des TROIS tissus la muqueuse buccale, gingivale et sublinguale de
la cavité buccale.
b. Sont plus fréquentes dans l'épithélium BUCCAL que l'épithélium gingival et sublingual
c. Leur rôle dans la muqueuse buccale semble être principalement TOLÉROGÉNIQUE.
21. Les DC interstitiels (CDI)
a. exprimant CD11c et CD11b
b. représentent le sous-ensemble DC majeur dans la lamina propria (LP) de la muqueuse buccale
et gingivale;
c. Une petite population de CDI peut également être trouvée dans la muqueuse sublinguale.
d. Sont le principal sous-groupe des CD qui ACTIVENT les CD4 + et CD8 + dans les ganglions
lymphatiques drainants.
11. 22. Les Odontoblastes
a. Intéragissent avec les Cellules dendritique pour initier la réponse immune dans la pulpe
dentaire contre les bactéries cariogènes.
b. Reconnaissent grâce aux TLRs présents à leur surface les motifs moléculaires associés aux
pathogènes (PAMPs) libérés par les lésions cariées
c. Leurs TLR stimulent la production de médiateurs pro-inflammatoires comme les
CHIMIOKINES
d. Sécrètent de chimiokines qui attirent des CELLULES DENDRITIQUES IMMATURES
présentant des antigènes, assurant ainsi L'IMMUNOSURVEILLANCE DES TISSUS.
e. Stimulent les cellules dendritiques à migrer vers la couche d'odontoblaste pour CAPTURER
les PAMPs et développer la réponse immune
LES ANTIGENESLES ANTIGENES
12. 23. La reconnaissance des cibles dans l’immunité innée
a. Est assurée essentiellement par les Interactions PRR-PAMPS
b. Se fait directement entre la cible et la cellule sans l’intervention de CPA
c. About it à la phagocytose et à la sécrétion de cytokines
d. Est associée à la détection du signal d danger par les TLR
24. La reconnaissance des cibles dans IMMUNIT ADAPTATIVE
a. Est assurée par une présentation antigénique par les CPA
b. Nécéssite les Signaux de costimulation
c. Est déclenchée par les Signaux de danger reconnus parles récepteurs PRR à la surface des CPA
d. Nécéssite l’étape de L’appretement (Processing) pour la présentation aux lymphocytes T
e. Est déterminée par l’Immunogénicité de la cible
f. Aboutit à la MEMOIRE IMMUNOLOGIQUE en plus de la génération des effecteurs
25. La RECONNAISSANCE antigénique par l’immunité adaptative peut aboutir à une :
a. Réponse humorale (réponse B ou sérique ou à anticorps)
b. Réponse cellulaire (ou réponse T cytotoxique).
c. Tolérance
d. Réponse dirigée contre des ÉPITOPES (DETERMINANTS ANTIGENIQUES) distincts
25. La RECONNAISSANCE antigénique par l’immunité adaptative peut aboutir à une :
a. Réponse humorale (réponse B ou sérique ou à anticorps)
b. Réponse cellulaire (ou réponse T cytotoxique).
c. Tolérance
d. Réponse dirigée contre des ÉPITOPES (DETERMINANTS ANTIGENIQUES) distincts
26. Dans l’immunité adaptative:
a. L’Immunogénicité est définit in vivo par la Capacité à DÉCLENCHER une réponse immune
b. L’Antigénicité se voit in vivo et in vitro
c. L’Antigénicité se définit par l’aptitude à être RECONNU par un effecteur de la réponse
immune adaptative
d. Une molécule est dite Antigéne lorsqu’elle réagit avec un Prélèvement sanguin contenant des
anticorps ou des lymphocytes à TCR sépcifique
13. 27. Le POUVOIR IMMUNOGENE d’une molécule
a. Est liée uniquement à sa structure et sa dose
b. est RELATIVE et dépond de trois groupes de paramètres
c. Est définit par rapport à UN HÔTE receveur
d. Est déterminé par les CONDITIONS EXPÉRIMENTALES lors de son innoculation.
e. N’est définit qu'en référence à un organisme receveur.
28. Les CONDITIONS EXPÉRIMENTALES d’innoculation d’un antigène OU DE
VACCINATION définissant l’immunogénicité
a. Sont LA VOIE D'INOCULATION et LA DOSE D'ANTIGÈNE administré
b. La meilleure voie d’innoculation est celle qui FAVORISE la RENCONTRE entre antigène et
CPA
c. En général les voies SOUS cutanée (SC) et intramusculaire (IM) sont les plus immunogénes
d. La voie d’innoculation Per OS est réservée au virus vivants à tropisme digestif)
e. La dose optimale associée à une bonne immunogénicité ne signifie absolument pas la dose la
plus élévée
f. La relation dose-effet immunogène n’est pas linéaire mais elle a un seul maximal, une fois
dépassé l’effet inverse sera observé
28. Les CONDITIONS EXPÉRIMENTALES d’innoculation d’un antigène OU DE
VACCINATION définissant l’immunogénicité
a. Sont LA VOIE D'INOCULATION et LA DOSE D'ANTIGÈNE administré
b. La meilleure voie d’innoculation est celle qui FAVORISE la RENCONTRE entre antigène et
CPA
c. En général les voies SOUS cutanée (SC) et intramusculaire (IM) sont les plus immunogénes
d. La voie d’innoculation Per OS est réservée au virus vivants à tropisme digestif)
e. La dose optimale associée à une bonne immunogénicité ne signifie absolument pas la dose la
plus élévée
f. La relation dose-effet immunogène n’est pas linéaire mais elle a un seul maximal, une fois
dépassé l’effet inverse sera observé
29. Les CONDITIONS DE L’ HÔTE déterminant l’antigénicité
a. Sont essentiellement portées par la diversité en molécule HLA (=le polymophisme HLA)
b. Définissent la notion de bons et mauvais répondeurs
c. Sont définis par la CAPACITÉ DE la PRÉSENTATION ANTIGÈNIQUE au système
immunitaire avant même la production des effecteurs
14. 30. Les CONDITIONS DE L’immunogénicité liées à la molécule elle-même
a. Sont la TAILLE DE L’Antigène et Le NOMBRE D’ÉPITOPES par molécule d’antigène
b. nécessite une molécule grosse pour avoir PLUS DE CHANCES de présenter des
particularités reconnaissables par le lymphocyte T ou le B et donc d’être un antigène
c. Nécessite plus de complexité et une diversité importante en épitopes
d. Visent différentes molécules HLA et Differents TCR et/ou Différents BCR pour avoir une
diversité en anticorps et Plus de réactivité immunologique
31. Un antigène
a. est constitué de plusieurs “n” épitopes
b. Définit par son poid moléculaire > 5 kilo Dalton
c. Définit par sa Mass moléculaire > de 5,000 grams par mole
d. Ne peut etre que de nature protéique mais jamais lipidique ou glucidique
32. L’Haptène est le bon exemple pour comprendre l’Antigénicité et l’immunogènicité
a. Est constitué d’un seul épitope
b. Est antigénique mais pas immunogène
c. Ne devient immunogène qu’apres son association à une protéine dite "porteuse”
33. Dans l’immunité adaptative
a. les épitopes T sont les séquences peptidiques LINEAIRES présentées dans les molécules
HLA
b. les épitopes B sont des motifs CONFORMATIONNELS à la surface de l’antigne natif
c. les épitopes T sont reconnus uniquement par les TCR
d. les épitopes B sont reconnus par le BCR et les anticorps
e. Contrairement aux épitopes B, les épitopes T nécéssitent l’étape d’appretement par les CPA
15. 34. Les superantigènes
a. stimulent les LT DIRECTEMENT SANS apprêtement ni présentation via les molécules HLA
b. Provoquent la production d’une énorme quantité de cytokines (tempête cytokinique)
c. peuvent mettre en péril la vie du patient en activant directement les LT
d. Sont produits par Certaines bactéries mycoplasmes et virus
35. Les effecteurs de l’immunité adaptative sont les LT et les LT:
a. Les LT ne reconnaissent que les Epitopes linéaires chargés dans les poches HLA
b. Les LT reconnaissent les épitopes Restreinte par le HLA et issus de Germe
Intracellulaire
c. Les LB reconnaissent les Epitopes conformationnels
d. Les anticrops sont dirigés contre Epitopes conformationnels des Germe Extracellulaire à
condition qu’ils soient à la surface
35. Les effecteurs de l’immunité adaptative sont les LT et les LT:
a. Les LT ne reconnaissent que les Epitopes linéaires chargés dans les poches HLA
b. Les LT reconnaissent les épitopes Restreinte par le HLA et issus de Germe
Intracellulaire
c. Les LB reconnaissent les Epitopes conformationnels
d. Les anticrops sont dirigés contre Epitopes conformationnels des Germe Extracellulaire à
condition qu’ils soient à la surface
36. En immunité adaptative les Réactions croisées
a. sont définit par La réactivité des LT ou des anticorps contre des Épitopes IDENTIQUES
b. sont définit par La réactivité des LT ou des anticorps contre des Épitopes APPARENTS
c. Sont la conséquence de manque de spécificité des effecteurs de la réponse immune adaptative
d. Peut etre bénifique par la production des anticorps cytotoxiqes contre la flore microbienne
comensale croisants contre les bactéries pathogènes
e. Peut etre néfaste via la production des anticorps contre les bactéries cariogène streptococcus
mutans pouvant croiser avec les muscles cardiaques
16. 37. Les réactions croisées rencontrées dans le projet du vaccin anti caries dentaires ciblant
certains antigènes de streptococcus mutans
a. Concernent les antigenes des muscles cardiaques
b. ne semblent pas concerner les antigene I et II du streptococcus mutans
c. Peuvent etre prévenu en changeant la voie d’innoculation en stimulant les muqueuses afin de
produire des IgA sécrétoires qui vont diffuser dans la salive
d. Se déclenchent par les vois sous cutané ou en intraveineux
38. Vaccin anti parodontite
a. A été proposé car Les parodontites une étiologie infectieuse et l’immunisation a été proposé
comme approche pour les controler
b. Doit cibler les antigènes du porphyromonas gingivalis
c. Vise la production des anticorps contre des protéines de surface du porphyromonas gingivalis
d. Doit incorporer l’adjuvant complet de ferund pour stimuler les TLR afin de délivrer un signal
de danger
e. Vise à stimuler la réponse immune adaptative et par conséquence la mémoire immunologique
39. la flore microbienne commensale joue un rôle essentiel
a. dans la résistance à la colonisation des agents pathogènes (par compétition sur l’espace et les
nutriments),
b. la sécrétion de substances antimicrobiennes (colicins et bactériocins)
c. la production de vitamine K.
d. Production des anticorps contre les bactéries pathogénes à travers les réactions croisées
38. Vaccin anti parodontite
a. A été proposé car Les parodontites une étiologie infectieuse et l’immunisation a été proposé
comme approche pour les controler
b. Doit cibler les antigènes du porphyromonas gingivalis
c. Vise la production des anticorps contre des protéines de surface du porphyromonas gingivalis
d. Doit incorporer l’adjuvant complet de ferund pour stimuler les TLR afin de délivrer un signal
de danger
e. Vise à stimuler la réponse immune adaptative et par conséquence la mémoire immunologique